
Décès du chef Jean-Luc Tartarin à l’âge de 59 ans
Le chef Jean-Luc Tartarin, à la tête du restaurant éponyme situé au Havre (Seine-Maritime), est décédé mercredi 14 mai, à l’âge de 59 ans.
Le chef Jean-Luc Tartarin, à la tête du restaurant éponyme situé au Havre (Seine-Maritime), est décédé mercredi 14 mai, à l’âge de 59 ans.
Après deux années passées aux côtés de Frédéric Anton au Pré Catelan (Paris, 16e arr.), le chef pâtissier Max Martin, 28 ans, quitte la table triplement étoilée pour de nouvelles aventures.
Dans un contexte économique complexe, la gastronomie cherche à se réinventer en redevenant désirable et abordable. En s’inspirant des Étoiles d’Alsace, le restaurateur Stéphane Manigold lance une offre spéciale pour les moins de 30 ans dans ses restaurants étoilés et entend fédérer les bonnes tables parisiennes.
LA RESTAURATION, SON IMAGE ET SES DYSFONCTIONNEMENTS : À QUI LA FAUTE ?
NOUVEAU MÉDIA
Dans une rue discrète de la ville, cette Pente Douce propose une cuisine délicieuse où le couscous occupe le rôle principal (mais pas unique). Ce mets, souvent maltraité, est ici travaillé de la plus belle des façons. Un régal.
De la bistronomie, des burgers de folie et un coffee shop tranquille : si Toulouse ne propose pas une scène culinaire débordante, elle compte néanmoins quelques adresses qui méritent le coup de fourchette.
Le chef Jean-Luc Tartarin, à la tête du restaurant éponyme situé au Havre (Seine-Maritime), est décédé mercredi 14 mai, à l’âge de 59 ans.
Après deux années passées aux côtés de Frédéric Anton au Pré Catelan (Paris, 16e arr.), le chef pâtissier Max Martin, 28 ans, quitte la table triplement étoilée pour de nouvelles aventures.
Dans un contexte économique complexe, la gastronomie cherche à se réinventer en redevenant désirable et abordable. En s’inspirant des Étoiles d’Alsace, le restaurateur Stéphane Manigold lance une offre spéciale pour les moins de 30 ans dans ses restaurants étoilés et entend fédérer les bonnes tables parisiennes.
Le cuisinier et épicier Gérard Vives nous convie à une exploration du goût, en nous piquant et brûlant juste comme il faut.
Remettre les acteurs du service au centre du jeu du restaurant, tel est l’objectif de De Salle à Toi, nouveau média numérique qui sera mis en ligne courant mai.
Les chefs adorent ça : se retrouver entre eux, festoyer, picoler beaucoup, bitcher un peu, jouer à la pétanque et manger bien sûr. L’événement « Les
Sur le papier, les projets étaient grandioses. Sur le terrain, l’échec est total. Alors que le projet Paris-Rungis est repoussé aux calendes grecques, la Cité de Lyon est au point mort tandis que celle de Dijon connait redressements et liquidations judiciaires.
Une enquête du magazine Elle a mis en évidence les violences conjugales de Jean Imbert, chef du Plaza Athénée et signataire de nombreuses cartes en France et à l’étranger. Les faits révélés, s’ils relèvent de la sphère privée, ne sont pas sans conséquences pour les établissements et les marques qui ont misé sur la puissance médiatique de l’ex-Top Chef. Risque économique, mauvaise image, bad buzz, comment les employeurs peuvent réagir à une telle situation, du silence radio à la rupture de contrat.
Lundi 28 avril s’est tenue à Anvers (Belgique), se tenait la cérémonie du guide Michelin Belgique et Luxembourg. Deux nouveaux restaurants accèdent au cercle prestigieux des deux étoiles : Léa Linster à Frisange (Luxembourg) et Maison Colette, à Tongerlo, en Flandre (Belgique). Treize autres restaurants décrochent leur première étoile.
Après les révélations sur le fonctionnement violent de Jean Imbert avec ses compagnes, faut-il en conclure que le chef se comporte avec ses collaborateurs comme l’homme dans la sphère privée ? Bouillantes a recueilli plusieurs témoignages qui ne laissent guère de doute sur la personnalité d’un homme manipulateur dont l’emprise semble incontestable, jusqu’à provoquer un surprenant syndrome de Stockholm.
Après les premières révélations publiées dès 2014, le sujet des violences en cuisine constitue un sujet plus ou moins régulier dans la presse et sur les réseaux sociaux. Il est revenu en force ces derniers jours avec des témoignages qui accusent directement et précisément certains acteurs de la restauration pour des faits répréhensibles commis en dehors de la chaleur des fourneaux. Après Jean Imbert il y a à peine quelques jours, une « figure montante de la scène food parisienne » vient d’être accusée d’avoir drogué au GHB une femme au sein même de son établissement. Laquelle ne serait manifestement pas un cas isolé. Quand les casseroles sortent à une telle cadence, il faut se demander si le #metoo des cuisines ne vient pas réellement de démarrer.
Défendu comme une expression pure du terroir, critiqué pour ses excès, le vin nature bouscule les codes du monde viticole. Ce « vin philosophique » selon l’expression du sommelier Xavier Thuizat interpelle tout un secteur, interroge un savoir-faire ancestral et repose la question de l’équilibre entre la maitrise et l’aléa, l’expression directe d’un terroir et la technique qui oriente. Derrière les idées reçues, entre idéal et réalité, est-ce finalement le nature qui dénature ?
Dans le cercle restreint des tables triplement étoilées françaises, l’Assiette Champenoise est régulièrement citée comme l’une des plus excitantes. Dans cette belle ville de Reims toujours plus étoilée, que vaut vraiment cette table dirigée par Arnaud Lallement, lequel peut compter depuis une année sur l’arrivée de son fils, Brice ? Retour d’expérience.
Romain Van Thienen, chef du restaurant Drouant (Paris, 2e arr.) a posté il y a quelques jours une vidéo et des photos de… bécasses accrochées dans les cuisines de son établissement. Se rendant compte de sa grosse bourde, il a rapidement supprimé tout le contenu. Mais le mal était fait.
Porte défoncée, coup de boule… Selon nos informations, un article publié par le magazine Elle dans les prochaines heures relate différents faits graves de violences conjugales commis par le chef Jean Imbert. Lequel n’en serait malheureusement pas à son coup d’essai.
Le « By Jean Imbert » a disparu du nom du restaurant Monsieur Dior (Paris, 8e arr.). Reste à savoir si le nouveau chef pressenti pour l’adresse de l’avenue Montaigne compte ajouter son patronyme.
Rien ne va plus dans les affaires culinaires de Shamona Viallet. Après lui avoir demandé de monter un nouveau projet, la directrice de Vivano a évincé Baudoin Arnould avant la fin de sa période d’essai.
Mais qui est vraiment Guillaume Gomez, un honnête défenseur des « petits » ou un opportuniste qui fait affaire avec les « gros » ? Celui qui s’est autoproclamé « ambassadeur de France de la Gastronomie » devrait dévoiler son jeu d’ici peu et annoncer officiellement le lancement de son agence de conseil au service de l’industrie agroalimentaire. La casquette change mais le boulot reste le même.
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Ô comptoir mon amour
Tatouage(s) : cuisine et dépendances
Qu’on se le dise : le tatouage est devenu un avantage compétitif dans le monde des cuisines. Omniprésent, il s’impose non pas comme une mode mais en véritable phénomène culturel. Cette semaine, Bouillant(e)s a réalisé un important dossier sur ce phénomène qui touche tout le monde ou presque, partout dans le monde. Du coq tatoué de Paul Bocuse en passant par les bancs de l’école, la sociologie et la psychologie, les étoiles Michelin gravés à même la peau, les témoignages de chefs et le recrutement, le tatouage se dévoile en grand format.
Agence(s) de communication et attachée(s) de presse : (r)évolution en marche
Une presse déclinante, des réseaux sociaux qui explosent, des influenceurs qui débarquent de nulle part, et un thème, celui de la gastronomie, qui se répand comme une trainée de poudre, partout où il y a de l’image, du son ou du texte. Dans un tel contexte, la communication gourmande se mue en art. Ça tombe bien, les agences de communication et les attaché(e)s de presse spécialisés sont là pour orchestrer un bal aussi riche que complexe. En quelques années, le métier a profondément changé. Simple évolution ou vraie révolution ?