
Bouchées apéritives et amuse-bouche : le regard des journalistes
Bouillant(e)s a demandé à cinq grands mangeurs devant l’éternel leur avis sur les amuse-bouche : François Simon, Emmanuel Rubin, Léo Pajon, Stéphane Durand-Soufflant, Laurent Guez.
LES DERNIERS ARTICLES DE LA RUBRIQUE

Bouillant(e)s a demandé à cinq grands mangeurs devant l’éternel leur avis sur les amuse-bouche : François Simon, Emmanuel Rubin, Léo Pajon, Stéphane Durand-Soufflant, Laurent Guez.

Partie de plaisir ou grand écart délicat, voire impossible ? Trouver le juste accord entre des amuse-bouche pluriels et un breuvage unique n’est pas de tout repos. Quels accords, quelles erreurs ne pas faire, comment sortir des sentiers battus : les sommeliers Antoine Petrus, Xavier Thuizat et Arnaud Fatome livrent quelques conseils.

Loin d’être anecdotique, les amuse-bouche jouent un rôle essentiel car ils inaugurent le repas et (dé)montrent le savoir-faire et l’identité du chef. Voilà un vade-mecum des pièges à éviter.

Existe-t-il un nombre idéal d’amuse-bouche ? État des lieux.

Impossible bien évidemment de lister toutes les propositions que l’on rencontre au restaurant pour démarrer le repas. Mais il y a néanmoins quelques récurrences.

Quel que soit le nom que l’on donne à ces premières bouchées, elles se doivent de respecter certains principes pour ne pas faire tâche en tout début de repas. Huit grands principes à respecter.

Canapés, amuse-bouche, bouchées apéritives… Comment nommer cette première étape du repas ? Les chefs balancent entre classicisme et originalité.

La réponse semble de prime abord évidente. D’un pur point de vue temporel, les amuse-bouche permettent de patienter avant le début du repas. Mais leur vocation ne se réduit pas à ça, loin de là même. À dire vrai, ils jouent aujourd’hui un rôle essentiel pour les chefs comme pour les mangeurs.
ABONNEMENT
Abonnez-vous au seul média indépendant et quotidien de la food
Tous les matins, recevez La Bouillantes de 8h30 dans votre boite mail.
Un corps en souffrance, une vie diminuée, voire annihilée. Mais une envie de vivre renouvelée au service d’un projet ambitieux pour mettre un coup de pied dans une fourmilière rarement tendre. Handicapé touchant et touché, mais pas coulé, Jérémy Biasiol se prépare aux épreuves du concours du MOF cuisine. Bien au-delà de son combat solitaire, il a surtout la volonté de porter un double message universel. Portrait d’un cuisinier résilient.
C’est la fin d’un joli couple : Pierre Gagnaire ne signe plus les cartes des dix tables estampillées Fouquet’s. Le célèbre chef continuera néanmoins de travailler pour le groupe Barrière à l’occasion de grands événements.
La cheffe Bérangère Fagart a annoncé sur les réseaux sociaux la fermeture définitive de son restaurant Sélune, situé 37 rue de Montreuil (Paris, 11e arr.).
Suite à la publication d’un article sur Bouillantes où nous mettions en exergue d’importants dysfonctionnements dans le restaurant doublement étoilé parisien, Marsan, la cheffe Hélène Darroze et sa directrice du développement Christelle Curinier n’ont pas réagi. Une absence de réaction choquante au regard des faits signalés. D’autant plus que ce n’était pas la première fois.
Pierre angulaire de la sommellerie de l’Hôtel de Crillon, Xavier Thuizat quitte ses fonctions pour développer de nouveaux projets.
Selon nos informations, le restaurant L’Écrin, table étoilée de l’Hôtel de Crillon (Paris, 8e arr.) dirigé par le chef Boris Campanella, va définitivement fermer ses portes en fin d’année.
Selon la seconde édition du baromètre réalisé par l’institut Ipsos BVA pour Bonial, Flunch reste l’enseigne de restauration à table la plus attractive en France.
Le chef Fabrice Idiart, à la tête du Moulin d’Alotz (Arcangues, 64) depuis sept ans, a décidé de faire évoluer son offre. En 2023, il avait supprimé la viande ; l’an dernier, c’était le tour des fruits de mer. Décembre 2025, le poisson quitte également la carte. La table devient 100% végétale. Explications avec Fabrice Idiart.
« Le Covid, l’inflation et la fatigue ont peu à peu eu raison de nos forces. Mais ce que nous gardons aujourd’hui, c’est avant tout, les
Le chef Nicolas Fontaine et le sommelier Logan Thouillez vont ouvrir courant janvier leur restaurant à Nimes, Poésie, au 4 rue Littré, en lieu et