Bouchées apéritives et amuse-bouche : le regard des journalistes

À l’occasion de la journée internationale du sextoy (ne faites pas votre mijaurée, vous le saviez…), qui tombe ce mardi 4 novembre, Bouillantes, média cul-rieux, a tapé sur son moteur de recherche préféré les mots « sextoy » et « nourriture » histoire de, histoire d’O. Oh surprise, un nouveau monde s’est révélé à nous. Article interdit aux moins de 18 ans et aux âmes sensibles.

Ca vaut quoi le fait maison au restaurant ? Quelle valeur faut-il lui accorder ? Depuis des lustres, les consommateurs s’en fichent tant que la bouche est pleine sans vider le portefeuille. Les guides ont volontairement oublié de se poser la question. Et la justice ? Elle vient de trancher dans le vif : elle ne lui accorde aucune reconnaissance ou si peu que la tromperie du client a un avenir radieux. Contrairement à la vraie cuisine.

Dans un article intitulé « Sur M6, la cuisine régionale exhale des relents réactionnaires », le journaliste Samuel Gontier attaque frontalement le contenu d’une émission de M6. Selon lui, passéisme et nationalisme dominent le propos, relayant involontairement une lecture que l’extrême-droite entend monopoliser. Le journaliste, qui manque cruellement de cultures gastronomique et historique, néglige la lecture polysémique du terroir et de la tradition, tout en pratiquant la caricature jusqu’à l’outrance.