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Tatouage en cuisine et salle : que dit la loi ?

Un salarié peut-il librement montrer ses tatouages sur son lieu de travail ? Un employeur peut-il interdire la vue des tatouages, voire licencier une personne à cause d’eux ? Le Code du travail et la jurisprudence proposent quelques pistes pour y voir plus clair.

Fabien Mamer : de la pâtisserie au tatouage

Un pâtissier qui lâche les fourneaux pour devenir tatoueur entre Paris et New York, voilà l’histoire singulière de Fabien Mamer. Forcément, dans ses studios trainent quelques cuisiniers et pâtissiers en quête d’encre.

Tatouage : les chefs racontent leurs expériences

Quoi, pourquoi, combien : Bouillant(e)s a demandé à quelques chefs des explications sur leurs tatouages. Un culbuteur de moto, des crevettes souriantes dans un jacuzzi, des bulots mayonnaise, la médaille du MOF, une forêt énervée ou un ciel astral : on trouve de tout sur le corps des cuisiniers et des pâtissiers.

David Le Breton (sociologue) : « Le tatouage repose sur le postulat que mon corps m’appartient et que j’ai envie d’y apposer ma griffe, mon identité profonde »

Loin d’être un phénomène de mode, le tatouage s’impose partout à travers le monde. Pour David Le Breton, sociologue et grand spécialiste du tatouage, il s’agit d’un phénomène culturel profond qui marque l’avènement du corps comme moyen d’expression personnel et identitaire. Pour Bouillant(e)s, il revient sur l’émergence de cette pratique et ses significations.

Le tatouage : une pratique solidement « encrée » en France

Hier confidentiel et mal vu, aujourd’hui omniprésent et follement tendance : le tatouage a fait sa mue il y a près de trente ans, au virage des années 80 et 90. Si aucuns chiffres officiels n’existent, les études les plus récentes montrent une progression vertigineuse du tatouage chez les Français. Voilà quelques données-clés.

Le fait maison : Catherine Quérard, présidente du GHR, aurait-elle mangé du clown ?

Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi tous les chefs de la nouvelle génération, comme de l’ancienne d’ailleurs, n’ont que faire des gesticulations et des jérémiades des syndicats, que ce soit l’Umih ou le GHR. Ce ne sont pas les prises de position de Catherine Quérard, présidente du GHR, pour la ridiculisation du label fait maison qui va arranger les choses. Clownesque à souhait.

Étoile rouge et service en salle : le Michelin, entre déni et évidence

Alors que le Bibendum demeure arcbouté sur le discours selon lequel seule la qualité de l’assiette entre en ligne de compte pour accorder ses étoiles rouges, les professionnels plaident très largement pour que le Michelin prenne en compte officiellement le service en salle. Ce qui serait déjà factuellement le cas selon certains.

Assouplissement de la mention « fait maison » et du titre de maitre-restaurateur : les industriels disent ‘merci’

Victime de son non-succès, la mention ‘fait maison’ va s’assouplir dangereusement pour gagner en visibilité. La restauration ne sort pas grandie. Bien au contraire. Derrière la prétendue « démocratisation » de la gastronomie se cache la « dictature » de l’agroalimentaire qui gagne également sur le terrain du titre de maitre-restaurateur.

Paul Bocuse, joliment timbré

La Poste annonce la création d’un timbre à l’effigie du chef Paul Bocuse à l’occasion du centenaire de sa naissance. Le petit objet à lécher

Le chef Matthias Marc quitte le restaurant Substance

C’est un secret de polichinelle qui prend officiellement fin : le chef Matthias Marc va quitter le restaurant Substance (Paris, 16e arr.) à la fin de l’année avec comme prochain objectif d’ouvrir un ambitieux projet en dehors de la capitale.