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15 adresses pour bien manger au comptoir à  Paris

Du format de poche au 100% comptoir, du très “tradi” au très oriental,du bistronomique au gastronomique, le comptoir se prête à tous les plaisirs culinaires. Bouillant(e)s a dressé une sélection de 15 adresses où l’on peut poser son séant en toute sérénité..

On mange et on boit quoi au comptoir ?

Pâtissiers, sommeliers, chefs, journalistes… Bouillant(e)s a demandé à quelques figures du milieu ce qu’ils aiment boire et manger au comptoir.

Authenticité, convivialité, accessibilité… Pourquoi le comptoir n’a jamais été aussi tendance

Tant pis s’il est à l’antithèse de la distanciation sociale, tant mieux si le comptoir se prête à toutes nos envies modernes. Du sandwich et café vite avalés jusqu’au repas étoilé bon chic bon genre, ce bout de zinc partagé et haut perché incarne toutes les valeurs de notre époque : authenticité, accessibilité, pluralité… Décryptage d’une tendance toujours bouillante.

Ce que Jonathan Nossiter a écrit sur l’Atelier Robuchon et le Comptoir de l’Odéon

En 2007, le réalisateur, cinéaste, écrivain et sommelier Jonathan Nossiter rédige un livre intitulé “Le Goût et le pouvoir” dans lequel il relate, de façon tout à fait subjective, ses expériences culinaires et vineuses en France. Sur les 21 chapitres de son livre, il en consacre un à l’Atelier Robuchon et un autre au Comptoir de l’Odéon d’Yves Camdeborde. La puissance de sa critique est à la hauteur de ses expériences ratées.

Être bourré(e), mais mieux dit !

Ce n’est pas parce que l’on est accoudé au comptoir que la sémantique doit s’absenter du débat. Les Français n’ont pas lésiné sur les vocables pour définir l’ébriété. Pour causer savant à toute heure, et ne pas se contenter d’un triste et sec “je suis bourré(e)”, Bouillant(e)s vous propose une extension notable de votre vocabulaire de cuite(s).

Se cultiver au comptoir ? 10 ouvrages à lire cul sec

Un cul sur un tabouret n’est pas synonyme de cerveau à l’arrêt. Bien au contraire, généralement, y a la tête qui tourne et les idées avec. Après le “on boit quoi’, passons “et on lit quoi ?” Bouillant(e)s se prend le temps d’un verre pour Bernard Pivot ou Augustin Trapenard et vous délivre 10 conseils de lecture bien avinés. Pardon, bien avisés.

Lettre d’excuse du Gault et Millau : le pire bad buzz de l’histoire du guide

Le guide Gault et Millau a eu l’idée saugrenue de publier sur son compte Instagram une parodie de « lettre d’excuse » justifiée par les « désagréments occasionnés par (son) incorrigible enthousiasme gastronomique » et par la qualité de son travail de valorisation des restaurants. Une lettre qui a mis le feu aux poudres puisqu’elle donne l’occasion aux professionnels du secteur d’exprimer au Gault et Millau ses quatre vérités et plus encore. Un feu d’artifice de critiques qui fait mal.

Logiciel de caisse : la certification obligatoire a du plomb dans l’aile

En dépit des récentes perquisitions qui ont eu lieu dans le monde de la restauration et des fortes suspicions de fraude, un amendement a été adopté par l’Assemblée nationale pour maintenir le système d’auto-certification des éditeurs de logiciels de caisse. Les arguments développés en faveur de ce nouveau recul sont très contestables.

Michel Roth, BHV et Shein : un chef devenu sourd et muet ?

Les chefs sont-ils sourds et aveugles ? Pas impossible. Alors que toutes les enseignes qui ont une image à défendre ont quitté le BHV parisien où s’est installée la marque Shein, le chef Michel Roth, présent avec sa « Table cachée » fait… la sourde oreille.