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Une seule publication, des centaines de commentaires, mais deux textes différents. Après avoir attaqué vertement le guide Michelin, estimant que celui-ci, jaloux et malveillant, voulait faire du buzz sur son dos, Georges Blanc a adouci en toute discrétion son texte. Un tir contre le Bibendum en deux coups.
Alors qu’il est assuré de conserver son étoile dans le guide Michelin 2025, le chef Vincent Favre-Felix a annoncé il y a quelques heures « tourner la page de la gastronomie étoilée ». Pourquoi ? Un coup, il ne se reconnait plus dans les valeurs du Michelin, un autre il met ça sur le dos de la conjoncture. Rien ne colle dans cette histoire.
Voilà une visite qui a été fortement appréciée par les équipes du restaurant Épicure, à Paris. Le directeur du Michelin Gwendal Poullennec, avant d’aller taper
Voilà un partenariat qui surprend… tout le monde. Le ministère de l’Économie luxembourgeois a accordé une enveloppe de 100 000€ pour participer à la cérémonie du Guide Michelin France. Pour rien du tout ?
Quelles sont les tables qui vont gagner une première, une deuxième ou une troisième étoile ? Comme chaque année, à quelques jours de la cérémonie officielle, Bouillantes s’essaie au délicat exercice des pronostics. Il ressort de nos analyses et de nos expériences une liste de 45 tables. À lire avec toute la prudence requise.
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« Faut-il inclure des critères liés au développement durable dans l’étoile rouge du guide Michelin ? » Plus de 1 000 votants ont répondu à notre sondage et ont laissé de nombreux messages, exprimant sans ambiguïté leurs positions.
Le guide Michelin aime bien jouer au chat et à la souris. Il faut donc parfois passer par un trou de souris pour tenter d’identifier d’éventuels indices d’une promotion de deux à trois étoiles. Bouillantes a tout analysé et a trouvé une perle de texte.
À la question de savoir si l’étoile Michelin constitue une récompense toujours autant désirée par les chefs, près de 1500 personnes ont répondu à notre sondage réalisé sur le réseau Instagram. Le résultat et le décryptage réalisé par Franck Pinay-Rabaroust sont à écouter dans notre podcast dédié.
Sans guide dédié, sans sauterie, sans critères, l’étoile verte mélange à la perfection une forte désirabilité et une parfaite incompréhension de la part des restaurateurs. C’est à se demander si elle ne constitue pas la plus grande promesse ratée du Michelin.
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Présent au Grand Véfour depuis 1991, Guy Martin a annoncé son départ du célèbre établissement parisien au 31 décembre. Ce restaurant, qui a connu la gloire des trois étoiles, n’a cessé de dépérir ces dernières années, jusqu’à devenir une banale brasserie.
Suite à notre enquête intitulée « Racisme, menaces et travail sept jours sur sept au Château de Beaulieu (62) du chef Christophe Dufossé », ce dernier a demandé, via ses avocats, un droit de réponse. Conformément au droit de la presse, nous le publions en accès libre.
Produit clivant par excellence, l’huître se prête avec délectation à l’accord terre-mer. Les chefs sont très nombreux à le pratiquer, avec plus ou moins d’inventivité. Bouillantes a interrogé trois chefs (plus un, un peu différent) pour comprendre leur approche culinaire très singulière de ce produit iconique.
EXCLUSIF | Le restaurant Yam’Tcha (Paris, 1er arr.) ferme définitivement ses portes. C’est la fin d’une adresse qui a marqué la gastronomie parisienne mais qui va rebondir ailleurs et autrement.
Que se passe-t-il chez Christophe Dufossé et son restaurant doublement étoilé de Busnes (62) ? Selon notre enquête, qui a duré plusieurs mois, le chef et ses proches n’ont pas hésité à franchir les limites de la légalité, entre travail sept jours sur sept, heures ni payées ni récupérées, menaces et racisme.
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi tous les chefs de la nouvelle génération, comme de l’ancienne d’ailleurs, n’ont que faire des gesticulations et des jérémiades des syndicats, que ce soit l’Umih ou le GHR. Ce ne sont pas les prises de position de Catherine Quérard, présidente du GHR, pour la ridiculisation du label fait maison qui va arranger les choses. Clownesque à souhait.
Alors que le Bibendum demeure arcbouté sur le discours selon lequel seule la qualité de l’assiette entre en ligne de compte pour accorder ses étoiles rouges, les professionnels plaident très largement pour que le Michelin prenne en compte officiellement le service en salle. Ce qui serait déjà factuellement le cas selon certains.
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La députée Olivia Grégoire a déposé une proposition de loi mi-novembre en faveur d’une éducation à l’alimentation obligatoire qui aurait lieu en milieu scolaire, de
Victime de son non-succès, la mention ‘fait maison’ va s’assouplir dangereusement pour gagner en visibilité. La restauration ne sort pas grandie. Bien au contraire. Derrière la prétendue « démocratisation » de la gastronomie se cache la « dictature » de l’agroalimentaire qui gagne également sur le terrain du titre de maitre-restaurateur.
