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Paye ton pinard, le choix Instagram de Julie Reux (journaliste)

Un compte militant pour une journaliste engagée, quoi de plus logique ? La créatrice de l’excellente revue Vinofutur, Julie Reux, a sélectionné le compte Paye ton pinard qui entend dénoncer le sexisme, l’homophobie et le racisme dans l’univers du vin.

Blanche violence du côté du Mirazur (Menton)

À la demande du chef Mauro Colagreco, le photographe Matteo Carassale a réalisé une série de dix portraits de l’équipe du Mirazur, restaurant triplement étoilé situé à Menton. Le cliché numéro 9, représentant Camila, cheffe de partie pâtisserie, interpelle par sa violence, voire sa pornographie. Décryptage engagé.

Jorick Dorignac, le net et le flou

Le portrait de chef se prête à tous les styles et échappe de plus en plus aux canons anciens du classicisme règlementaire. Celui de Jorick Dorignac, réalisé par un véritable artiste de la photographie, en noir et blanc, net et flou, interpelle par son engagement esthétique et ses multiples lectures possibles.

Portrait de mains

Qu’est-ce qu’un portrait ? La réponse semble facile et pourtant. Ce visuel du photographe Franck Tremblay, où l’on voit des mains posées sur un visage bien connu des gastronomes, questionne la catégorie. Décryptage par la photographe Emmanuelle Levesque.

Partenariat entre S. Pellegrino et Ferrari

Des bouteilles dessinées par le centre de design de Ferrari, des expériences « immersives », des rencontres croisées entre les univers culinaire et celui de la course

La Liste, un classement fiable ? Oui pour…. 6% des votants

La Liste, qui a annoncé son « classement des classements » le lundi 24 novembre, constitue-t-elle un classement fiable des restaurants à travers le monde ? Notre sondage ne laisse aucun doute sur la nature de la réponse avec seulement 6% de réponses positives. Un camouflet de plus à mettre à l’actif de Philippe Faure et Hélène Pietrini.

Alain Ducasse et son pop-up en Arabie saoudite : une triste leçon de marketing opportuniste 

Comment peut-on justifier la création d’un pop-up au fin fond de l’Arabie saoudite quand on revendique « une alimentation bonne à penser avant d’être bonne à manger », la naturalité et la responsabilité écologique ? En créant un concept bien sûr, censé se suffire à lui-même pour être politiquement correct. Aux principes et à la cohérence, Alain Ducasse préfère l’opportunisme. Une triste leçon de marketing.

Le « bistrot de village », nouvelle marotte des grands chefs ?

Alors que la haute gastronomie se questionne sur ses codes et son modèle économique, de nombreux chefs à la tête de tables étoilées se lancent dans l’aventure complémentaire du « bistrot de village ». Proximité, mixité sociale, sauvegarde d’un commerce, diversité des offres et des postes pour les équipes, les avantages sont nombreux (avec quelques écueils à ne pas négliger) et positionnent la cuisine comme un outil politique de premier plan.