
Un inspecteur Michelin chez Top Chef ?
En manque de popularité, le guide Michelin devrait chercher à rebondir en participant plus activement à l’émission de téléréalité Top Chef. Avec, notamment, la présence d’un inspecteur du guide France.
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En manque de popularité, le guide Michelin devrait chercher à rebondir en participant plus activement à l’émission de téléréalité Top Chef. Avec, notamment, la présence d’un inspecteur du guide France.

Le guide Michelin a récemment communiqué sur les chiffres de ses étoiles en 2024. L’an dernier, le Bibendum a honoré dix nouveaux restaurants à trois

Une première étoile dès l’arrivée du guide Michelin en 2019, une deuxième l’année suivante et, cinq ans plus tard, la consécration avec une troisième étoile

Outre les incohérences et les béances objectives de la sélection réalisée par les équipes du guide Gault&Millau, celles qui gèrent le magazine et les réseaux sociaux ont décidé de valoriser cette semaine un restaurant, en le nommant « Table de la semaine », alors que son chef est accusé par de nombreuses femmes de violences diverses et que son établissement est blacklisté par plusieurs écoles. Un choix méprisant et honteux.

Chaque année, depuis sa création en 2015, La Liste publie un pseudo classement des meilleurs restaurants du monde, basé sur un algorithme impossible qui prétend être objectif alors qu’il ne constitue qu’un pâle outil du soft power hexagonal et désormais une source de business.
Lancé il y a quelques années en format « guide, le « 109 » évolue et devient un hors-série du magazine Gault&Millau. L’ADN, lui, ne change pas :
Si le Michelin essaie parfois de ne pas faire du Michelin, si le Gault et Millau essaie juste de ne pas couler plus bas, le
Le Gault et Millau a dévoilé lundi 18 novembre son palmarès du guide France 2025. Frédéric Anton, chef du Pré Catelan (Paris), qui opère également

Qui va succéder à Yoann Conte pour le titre de Cuisinier de l’année du guide Gault&Millau France 2025 ? Depuis quelques semaines, les quatre postulants

À l’occasion de sa cérémonie annuelle, qui se déroulera le lundi 18 novembre, le Gault et Millau a envoyé des invitations… aux mauvaises personnes. Quand l’artisanat permanent de ce guide montre ses limites.
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En toute discrétion, la marque de chocolats de Yannick Alléno et d’Aurélien Rivoire a changé de nom il y a quelques jours, faisant disparaitre le nom du chef pâtissier. Bouillantes vous explique pourquoi.
L’actrice Eva Green a découvert le saké lors d’une promotion au Japon. Elle a su s’entourer pour créer sa propre maison de saké. Entretien.
Présent au Grand Véfour depuis 1991, Guy Martin a annoncé son départ du célèbre établissement parisien au 31 décembre. Ce restaurant, qui a connu la gloire des trois étoiles, n’a cessé de dépérir ces dernières années, jusqu’à devenir une banale brasserie.
Suite à notre enquête intitulée « Racisme, menaces et travail sept jours sur sept au Château de Beaulieu (62) du chef Christophe Dufossé », ce dernier a demandé, via ses avocats, un droit de réponse. Conformément au droit de la presse, nous le publions en accès libre.
Produit clivant par excellence, l’huître se prête avec délectation à l’accord terre-mer. Les chefs sont très nombreux à le pratiquer, avec plus ou moins d’inventivité. Bouillantes a interrogé trois chefs (plus un, un peu différent) pour comprendre leur approche culinaire très singulière de ce produit iconique.
EXCLUSIF | Le restaurant Yam’Tcha (Paris, 1er arr.) ferme définitivement ses portes. C’est la fin d’une adresse qui a marqué la gastronomie parisienne mais qui va rebondir ailleurs et autrement.
Que se passe-t-il chez Christophe Dufossé et son restaurant doublement étoilé de Busnes (62) ? Selon notre enquête, qui a duré plusieurs mois, le chef et ses proches n’ont pas hésité à franchir les limites de la légalité, entre travail sept jours sur sept, heures ni payées ni récupérées, menaces et racisme.
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi tous les chefs de la nouvelle génération, comme de l’ancienne d’ailleurs, n’ont que faire des gesticulations et des jérémiades des syndicats, que ce soit l’Umih ou le GHR. Ce ne sont pas les prises de position de Catherine Quérard, présidente du GHR, pour la ridiculisation du label fait maison qui va arranger les choses. Clownesque à souhait.
Alors que le Bibendum demeure arcbouté sur le discours selon lequel seule la qualité de l’assiette entre en ligne de compte pour accorder ses étoiles rouges, les professionnels plaident très largement pour que le Michelin prenne en compte officiellement le service en salle. Ce qui serait déjà factuellement le cas selon certains.
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