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Omnivore : le paradis (tristement) perdu

Alors que l’édition 2024 d’Omnivore a fermé ses portes il y a quelques jours à Vincennes, certains visiteurs et partenaires de l’événement regrettent une époque où l’événement fêtait et honorait dignement la Jeune Cuisine et proposait un esprit un peu foutraque, bien loin de l’acide rigorisme financier de GL Events qui gère ça comme un grand supermarché de la bouffe. Avec un succès fort peu convaincant.

Le Comptoir du Relais Saint-Germain (Paris, 6e arr.) : au bonheur de Bruno Doucet

Sur le papier, l’annonce de la revente en 2022 du Comptoir du Relais Saint-Germain, une institution posée sur le très vivant Carrefour de l’Odéon, marquait la fin d’une époque. Celle d’Yves Camdeborde en roi parisien de la bistronomie. Pour le passage de « Relais », il faisait de nouveau confiance à Bruno Doucet, déjà repreneur de l’iconique Régalade de l’avenue Jean-Moulin (Paris, 14e arr.). Bonne ou mauvaise pioche ?

Quand le terroir se révèle sous les prismes politique et militant

Si le terroir se cuisine à toutes les sauces, Samuel Grzybowski aborde le sujet sous l’angle politique. Sous sa plume, ce concept holistique qui englobe la géographie, la culture et l’interaction entre l’humain et la nature, se mue en terre de combats. Du Perche à l’Aubrac, du Grésivaudan à l’Artois, l’auteur aborde le terroir dans toute sa richesse et ses enjeux, et en ausculte l’usage parfois déformé dans un ouvrage intitulé « Les terroirs et la gauche : un amour méconnu ».

« Bocuse malgré moi » : le livre intime qui écorne le mythe de Monsieur Paul

En librairie le 18 septembre prochain, le livre d’Eve-Marie Zizza-Lalu, intitulé « Bocuse malgré moi », dresse un portrait peu flatteur du chef qui a marqué la gastronomie française. Qualifié, entre autres, de « baiseur sans couilles », de « bourreau » et d’« eunuque de la volonté », Paul Bocuse y apparait sous un visage inédit, dans la sphère privé, très loin du monstre sacré et intouchable. Entretien avec l’autrice.