Allez ! : le plein d’allant

Écosystème vivant, complexe, se transformant au rythme des évolutions sociétales et culinaires, le restaurant ne cesse de changer dans sa forme, ses usages, son périmètre. En 80 mots, Bouillant(e)s dresse un portrait qui se rêve exhaustif du restaurant d’aujourd’hui, avec amusement, réflexion, analyse, culture et impertinence. Allez, on y va ?
Manifeste « En cuisine contre la loi raciste » : le sujet aurait mérité (beaucoup) mieux

Un manifeste, des signatures prestigieuses et un sujet central : l’opposition d’une partie des acteurs de la restauration contre la loi « immigration ». Si les propos tenus dans le texte soulèvent de vraies questions, le manifeste n’était probablement pas la meilleure forme pour aborder un thème aussi politique et sensible. D’autant plus qu’il n’évoque jamais la responsabilité du secteur dans ce qu’il dénonce avant tout : la pénurie de personnel.
Comment le thé s’impose en gastronomie

En quelques années, la place du thé a profondément changé. Il ne se contente plus d’être une boisson du petit-déjeuner, du goûter ou des non-amateurs de café : il se retrouve désormais sur la table des restaurants le temps d’un repas. La trop classique tasse en porcelaine a même souvent cédé sa place au verre à pied dans lequel le breuvage, chaud ou froid, s’apprécie comme un grand vin. Bien loin d’être une simple tendance anecdotique, le thé a changé de statut.
Le Dry January au restaurant : risque ou opportunité ?

Il y a, d’un côté, l’argument de la santé individuelle et, de l’autre, il y a le constat de la réalité économique des restaurants : le vin constitue, encore aujourd’hui, une vache à lait bien pratique pour gonfler les marges et le chiffre d’affaires. Alors, le Dry January constitue-t-il un risque économique réel pour les restaurateurs ou, au contraire, une opportunité pour repenser le poids de l’alcool dans leur offre liquide et dans leur économie ? Bouillant(e)s a interrogé de nombreux spécialistes pour peser le pour et le contre du « janvier sobre » au restaurant.
Corentin Poirier-Martinet : « Une résidence à San Francisco pour penser le ‘gâteau de terroir’ »

Premier chef français à participer à l’aventure d’une résidence à la Villa Albertine (San Francisco, États-Unis), Corentin Poirier-Martinet, pâtissier de formation, s’est fixé pour projet de travailler autour de la notion de ‘gâteau de terroir’, à l’instar de la cuisine locavore, identitairement et gustativement rattachée à un territoire spécifique. Juste avant de s’envoler pour la mythique Côte Ouest américaine, il a expliqué son projet à Bouillant(e)s. Un projet passionnant et ambitieux.
Aurélien Largeau : « Je tiens à démentir formellement toutes les allégations portées à mon encontre »

Depuis près de 24 heures, les médias et les réseaux sociaux réagissent à un ‘bizutage’ très violent d’un commis dans les cuisines de l’Hôtel du Palais à Biarritz. Premier visé et premier responsable désigné, le chef Aurélien Largeau, qui a quitté son poste. Contacté par Bouillant(e)s, il conteste les faits et se dit ‘dévasté’ par ces accusations.
Tablées+ janvier : les 50 infos indispensables sur les restaurants et les chefs en France

Tablées+ by Bouillant(e)s, nouvel outil éditorial pour les professionnels qui ne veulent rien rater de l’actualité des tables, revient pour son deuxième opus. Ouvertures récentes et à venir, c’est à découvrir à travers plus de 50 informations dans Tablées+ by Bouillant(e)s.
2023 : une année Bouillant(e)s en 15 faits et gestes

Lancé début janvier 2023, le média Bouillant(e)s a couvert une grande partie de l’actualité du secteur de la restauration à travers plus de 250 articles publiés, parfois dans le feu de l’action, parfois avec le recul nécessaire pour une juste analyse. Bouillant(e)s a retenu 15 ‘faits et gestes’ marquants de cette année aussi riche et intense que questionnante sur l’avenir d’un secteur en mal de repères.
Ivresses livresques

Parmi les grands thèmes de la littérature, celui de l’ivresse tient une place toute particulière. Essai, roman, témoignage, manifeste, poème, théâtre, et même bande dessinée, tous les genres littéraires se sont épanchés sur l’alcool et les manifestations de ses effets secondaires. Bouillant(e)s a sélectionné quelques livres qui ne donnent pas (trop) mal à la tête, même après (ou avant) quelques abus éthyliques.
Mets de l’huile (sous le sapin) !

Tout comme dans l’univers du parfum, il y a dans le petit monde de l’huile d’olive une très grande diversité de qualité, tant au niveau du contenu que du contenant. Certaines marques misent autant sur l’un que sur l’autre pour vendre leurs précieux nectars. Bouillant(e)s a sélectionné quelques bouteilles dignes d’être présentes autant sur une table de cuisine que sur une table basse de salon.