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En toute discrétion, la marque de chocolats de Yannick Alléno et d’Aurélien Rivoire a changé de nom il y a quelques jours, faisant disparaitre le nom du chef pâtissier. Bouillantes vous explique pourquoi.
L’actrice Eva Green a découvert le saké lors d’une promotion au Japon. Elle a su s’entourer pour créer sa propre maison de saké. Entretien.
Présent au Grand Véfour depuis 1991, Guy Martin a annoncé son départ du célèbre établissement parisien au 31 décembre. Ce restaurant, qui a connu la gloire des trois étoiles, n’a cessé de dépérir ces dernières années, jusqu’à devenir une banale brasserie.
Suite à notre enquête intitulée « Racisme, menaces et travail sept jours sur sept au Château de Beaulieu (62) du chef Christophe Dufossé », ce dernier a demandé, via ses avocats, un droit de réponse. Conformément au droit de la presse, nous le publions en accès libre.
Produit clivant par excellence, l’huître se prête avec délectation à l’accord terre-mer. Les chefs sont très nombreux à le pratiquer, avec plus ou moins d’inventivité. Bouillantes a interrogé trois chefs (plus un, un peu différent) pour comprendre leur approche culinaire très singulière de ce produit iconique.
EXCLUSIF | Le restaurant Yam’Tcha (Paris, 1er arr.) ferme définitivement ses portes. C’est la fin d’une adresse qui a marqué la gastronomie parisienne mais qui va rebondir ailleurs et autrement.
Que se passe-t-il chez Christophe Dufossé et son restaurant doublement étoilé de Busnes (62) ? Selon notre enquête, qui a duré plusieurs mois, le chef et ses proches n’ont pas hésité à franchir les limites de la légalité, entre travail sept jours sur sept, heures ni payées ni récupérées, menaces et racisme.
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi tous les chefs de la nouvelle génération, comme de l’ancienne d’ailleurs, n’ont que faire des gesticulations et des jérémiades des syndicats, que ce soit l’Umih ou le GHR. Ce ne sont pas les prises de position de Catherine Quérard, présidente du GHR, pour la ridiculisation du label fait maison qui va arranger les choses. Clownesque à souhait.
Alors que le Bibendum demeure arcbouté sur le discours selon lequel seule la qualité de l’assiette entre en ligne de compte pour accorder ses étoiles rouges, les professionnels plaident très largement pour que le Michelin prenne en compte officiellement le service en salle. Ce qui serait déjà factuellement le cas selon certains.
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