
Tables : les 20 tables coups de coeur de l’été
La rédaction de Bouillantes a sillonné la France cet été à la recherche de belles tables. Il en ressort une sélection de 20 tables, entre valeurs sûres et vraies découvertes.
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La rédaction de Bouillantes a sillonné la France cet été à la recherche de belles tables. Il en ressort une sélection de 20 tables, entre valeurs sûres et vraies découvertes.

Chaise longue, piscine, rosé et lecture. On oublie pendant quelques jours mails, réseaux sociaux et autres fils à la patte aussi virtuels que résistants. On pose le téléphone et on ouvre un livre. Miracle, il existe autre chose que les écrans dans la vie, avec du papier, de l’encre, des lignes, des chapitres et de belles histoires. Dix conseils de lecture, plus un : à onze, on bronze.

Comme tous les ans, l’événement Saint-Sulpice Céramique s’est déroulé sur la fameuse place parisienne (6e arr.) fin juin. Il regroupe plusieurs dizaines de céramistes qui y exposent leurs oeuvres, utilitaires et artistiques. Bouillantes y était et vous présente ses cinq coups de coeur.

Tout le monde a déjà entendu parler de la Journée mondiale de ci ou de ça. Les journées du pyjama, du jardinage nu ou de l’orgasme existent, pour de vrai. Il existe bien plus de « Journées » que de jour dans notre calendrier. Bouillantes a listé toutes ces journées dédiées à la chose culinaire, du donut à la tequila, en passant par la poutine et la chocolatine.

Parmi les grands thèmes de la littérature, celui de l’ivresse tient une place toute particulière. Essai, roman, témoignage, manifeste, poème, théâtre, et même bande dessinée, tous les genres littéraires se sont épanchés sur l’alcool et les manifestations de ses effets secondaires. Bouillant(e)s a sélectionné quelques livres qui ne donnent pas (trop) mal à la tête, même après (ou avant) quelques abus éthyliques.

Tout comme dans l’univers du parfum, il y a dans le petit monde de l’huile d’olive une très grande diversité de qualité, tant au niveau du contenu que du contenant. Certaines marques misent autant sur l’un que sur l’autre pour vendre leurs précieux nectars. Bouillant(e)s a sélectionné quelques bouteilles dignes d’être présentes autant sur une table de cuisine que sur une table basse de salon.

En France, le pain est un sujet hautement politique. À chaque révolte, à chaque révolution, il est convoqué dans les slogans populaires. Aujourd’hui, il continue d’occuper une place symbolique de premier ordre, et se positionne comme l’archétype du produit conquis – et détruit – par l’industrie. Une littérature – pléthorique – défend donc une autre vision, celle d’un pain vrai, artisanal et vivant. Parmi l’offre foisonnante sur le sujet, Bouillant(e)s a sélectionné six livres indispensables pour comprendre les enjeux contemporains du pain.

Voilà une espèce rare qu’il est agréable de mettre en avant. Généralement, qui dit livre de chef dit recettes à gogo, avec les petites fiches qui vont avec. Libre à chacun de s’essayer à l’exercice de refaire une recette du livre ou de poser ce dernier bien en évidence sur la table basse, histoire de. Le livre de recettes, un passage obligé ou presque pour un chef en vue ou qui veut se faire (bien) voir. Dans cette jungle littéraire subsiste quelques pépites où l’on ne rassasie pas de recettes absconses, mais de mots savamment pesés. Bouillant(e)s en a relevé huit. Une liste non exhaustive, mais précieuse.

Les chaudes baignades semblent déjà bien loin, les ploufs et les bombes relégués au rang des souvenirs de vacances. L’été fut parfois étouffant, justifiant à juste titre bières, vins multicolores, petits jaunes éclatants et beaucoup d’eau fraiche. L’eau, justement, cet élément naturel que l’on pensait être une ressource infinie, inconditionnelle et inconditionnée, change radicalement de statut. Pire, l’eau fait sa crise. Le sujet n’a rien d’anecdotique et il dépasse de très loin la seule question du choix de l’eau par le client du restaurant : en carafe, en bouteille ou microfiltrée. Sociétal, environnemental, politique, économique, le débat est global. Il touche tout le monde, sans exception, des plus pauvres aux plus riches. Pour mieux saisir les enjeux, les dangers et les solutions, Bouillant(e)s a sélectionné six livres sur le sujet aride et brûlant de l’eau.

Si l’été se prête à la farniente indolente, la chaude saison constitue également une période idéale pour découvrir des tables à l’ombre d’une terrasse, ou pas. Dans ses pérégrinations estivales, Bouillant(e)s a retenu 18 tables coups de coeur.
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Présent au Grand Véfour depuis 1991, Guy Martin a annoncé son départ du célèbre établissement parisien au 31 décembre. Ce restaurant, qui a connu la gloire des trois étoiles, n’a cessé de dépérir ces dernières années, jusqu’à devenir une banale brasserie.
Suite à notre enquête intitulée « Racisme, menaces et travail sept jours sur sept au Château de Beaulieu (62) du chef Christophe Dufossé », ce dernier a demandé, via ses avocats, un droit de réponse. Conformément au droit de la presse, nous le publions en accès libre.
Produit clivant par excellence, l’huître se prête avec délectation à l’accord terre-mer. Les chefs sont très nombreux à le pratiquer, avec plus ou moins d’inventivité. Bouillantes a interrogé trois chefs (plus un, un peu différent) pour comprendre leur approche culinaire très singulière de ce produit iconique.
EXCLUSIF | Le restaurant Yam’Tcha (Paris, 1er arr.) ferme définitivement ses portes. C’est la fin d’une adresse qui a marqué la gastronomie parisienne mais qui va rebondir ailleurs et autrement.
Que se passe-t-il chez Christophe Dufossé et son restaurant doublement étoilé de Busnes (62) ? Selon notre enquête, qui a duré plusieurs mois, le chef et ses proches n’ont pas hésité à franchir les limites de la légalité, entre travail sept jours sur sept, heures ni payées ni récupérées, menaces et racisme.
Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi tous les chefs de la nouvelle génération, comme de l’ancienne d’ailleurs, n’ont que faire des gesticulations et des jérémiades des syndicats, que ce soit l’Umih ou le GHR. Ce ne sont pas les prises de position de Catherine Quérard, présidente du GHR, pour la ridiculisation du label fait maison qui va arranger les choses. Clownesque à souhait.
Alors que le Bibendum demeure arcbouté sur le discours selon lequel seule la qualité de l’assiette entre en ligne de compte pour accorder ses étoiles rouges, les professionnels plaident très largement pour que le Michelin prenne en compte officiellement le service en salle. Ce qui serait déjà factuellement le cas selon certains.
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La députée Olivia Grégoire a déposé une proposition de loi mi-novembre en faveur d’une éducation à l’alimentation obligatoire qui aurait lieu en milieu scolaire, de
Victime de son non-succès, la mention ‘fait maison’ va s’assouplir dangereusement pour gagner en visibilité. La restauration ne sort pas grandie. Bien au contraire. Derrière la prétendue « démocratisation » de la gastronomie se cache la « dictature » de l’agroalimentaire qui gagne également sur le terrain du titre de maitre-restaurateur.