Le comptoir au restaurant : « Un acte de naissance incertain »

De quand datent les premiers comptoirs au restaurant ? Une réponse difficile, pour ne pas dire impossible. Bouillant(e)s a demandé à l’historien spécialiste de gastronomie Patrick Rambourg de remonter à l’origine du comptoir.
Être bourré(e), mais mieux dit !

Ce n’est pas parce que l’on est accoudé au comptoir que la sémantique doit s’absenter du débat. Les Français n’ont pas lésiné sur les vocables pour définir l’ébriété. Pour causer savant à toute heure, et ne pas se contenter d’un triste et sec “je suis bourré(e)”, Bouillant(e)s vous propose une extension notable de votre vocabulaire de cuite(s).
Se cultiver au comptoir ? 10 ouvrages à lire cul sec

Un cul sur un tabouret n’est pas synonyme de cerveau à l’arrêt. Bien au contraire, généralement, y a la tête qui tourne et les idées avec. Après le “on boit quoi’, passons “et on lit quoi ?” Bouillant(e)s se prend le temps d’un verre pour Bernard Pivot ou Augustin Trapenard et vous délivre 10 conseils de lecture bien avinés. Pardon, bien avisés.
Pier Paolo Pasolini et l’alimentation : « Un terrain d’expressions politique et religieuse » selon Hervé Joubert-Laurencin

Spécialiste et traducteur du poète-écrivain-cinéaste italien, Hervé Joubert-Laurencin s’est replongé pour Bouillant(e)s dans toute l’oeuvre protéiforme de Pier Paolo Pasolini (1922-1975) pour en analyser tout ce qui a un rapport avec l’alimentation et la restauration. Ces deux thèmes se révèlent très présents dans son oeuvre cinématographique, avec une approche très… pasolinienne.
Du dry, des étoiles, un sniper du Palais, Noma 3.0, bad kids au Bocuse d’Or, abstème power… Le récap’ Bouillant(e)s de janvier

Chaque fin de mois, Bouillant(e)s condense l’essentiel de l’info ‘food’ avec subjectivité et parti-pris. Bouillant(e)s retient le meilleur du chaud et livre son opinion sur les grandes actualités.
Laurent Guez (Les Échos, Le Parisien) : « J’ai pour les chefs une admiration sincère, la plupart sont fantastiques et passionnés, pourquoi faudrait-il les démolir ? »

Journaliste depuis plus de 30 ans, Laurent Guez, 58 ans, est depuis trois ans le rédacteur en chef ‘food’ du groupe Les Echos Le Parisien. Sur le web et en kiosque, sa plume habile s’empare du sujet gastronomique avec un amour évident de la bonne chère et une exigence journaliste pointue.
Charlotte Langrand (JDD, Europe 1) : « La presse écrite n’est pas morte : elle conserve une vraie importance auprès de ces chefs qui comprennent que prendre le temps de s’exprimer permet d’aborder des sujets en profondeur »

Journaliste ‘food’ du JDD, chroniqueuse sur Europe 1 à la Table des Bons Vivants, Charlotte Langrand s’est imposée en quelques années comme l’une des figures majeures du journalisme culinaire. Elle aborde chaque semaine sa page dédiée à la cuisine avec le pragmatisme d’une journaliste qui a écrit pendant plus de dix années dans l’énergie de l’actualité chaude et ne cache pas son admiration pour la créativité des chefs.
Caroline Broué (France Culture) : « L’alimentation nous dit quelque chose de l’histoire, de la culture, de la politique d’un pays »

Depuis 2018, la journaliste Caroline Broué anime l’émission « Les Bonnes Choses » sur France Culture chaque dimanche à midi. Sa recette du succès ? Ne pas parler de recettes justement mais, au contraire, mettre en avant « les saveurs des savoirs » et aborder l’alimentation comme un véritable sujet politique et culturel.
Les 60 journalistes ‘food’ les plus influents selon les attaché(e)s de presse

Bouillant(e)s a demandé à plus de 30 attaché(e)s de presse spécialisé(e)s dans l’univers de la ‘food’ quels sont les journalistes les plus influents dans leur secteur professionnel. Il en ressort quelque 60 noms. Palmarès, analyses, place des femmes, faiblesse de la presse professionnelle : voici les résultats.
Le flacon à capsule est-il l’avenir du vin au verre au restaurant ?
Avec l’évolution de la consommation du vin au restaurant, notamment l’explosion du vin au verre, un nouveau format pointe le bout de sa capsule : le flacon, en petit format de quelques centilitres. Demain, va-t-il s’imposer au restaurant comme une offre complémentaire, voire centrale, en permettant par exemple de se faire plaisir avec des vins de prestige ? C’est le dossier Bouillant(e)s du jour.