Tatouage en cuisine et salle : que dit la loi ?
Un salarié peut-il librement montrer ses tatouages sur son lieu de travail ? Un employeur peut-il interdire la vue des tatouages, voire licencier une personne à cause d’eux ? Le Code du travail et la jurisprudence proposent quelques pistes pour y voir plus clair.
Le tatouage à l’école : sujet sensible ou inexistant ?
Difficile de faire parler les écoles spécialisées sur le sujet du tatouage. Non sujet ou, au contraire, sujet sensible ?
Recrutement : « Patron cherche cuisinier tatoué pour être bien vu ! »
Un bon tatouage bien placé vaut-il mieux qu’une belle expérience en cuisine ou en salle ? Pas impossible.
Fabien Mamer : de la pâtisserie au tatouage
Un pâtissier qui lâche les fourneaux pour devenir tatoueur entre Paris et New York, voilà l’histoire singulière de Fabien Mamer. Forcément, dans ses studios trainent quelques cuisiniers et pâtissiers en quête d’encre.
Tatouage : cher Bibendum, voilà des étoiles que tu n’effaceras pas
Par passion, par folie, par espoir, des chefs se tatouent une ou des étoiles Michelin sur le corps. Un choix fort qui prouve l’importance de cette récompense que certains veulent indélébiles.
La véritable histoire du célèbre « coq » tatoué de Paul Bocuse
Un très grand chef, une guerre, un coq tatoué sur une épaule et une très belle anecdote dans laquelle on retrouve tout le talent – de comédien – de Paul Bocuse : voilà la belle histoire d’un tatouage qui fit couler juste ce qu’il faut d’encre.
Tatouage : les chefs racontent leurs expériences
Quoi, pourquoi, combien : Bouillant(e)s a demandé à quelques chefs des explications sur leurs tatouages. Un culbuteur de moto, des crevettes souriantes dans un jacuzzi, des bulots mayonnaise, la médaille du MOF, une forêt énervée ou un ciel astral : on trouve de tout sur le corps des cuisiniers et des pâtissiers.
Cinq causes, cinq motivations : la preuve par dix du tatouage selon la socio-anthropologue Elise Muller
Interrogée par Bouillant(e)s, la socio-anthropologue et docteure en sociologie Elise Muller explique pourquoi le tatouage s’est imposée dans le paysage en cinq points. Elle donne également les cinq motivations principales qui poussent les individus à s’encrer le corps.
David Le Breton (sociologue) : « Le tatouage repose sur le postulat que mon corps m’appartient et que j’ai envie d’y apposer ma griffe, mon identité profonde »
Loin d’être un phénomène de mode, le tatouage s’impose partout à travers le monde. Pour David Le Breton, sociologue et grand spécialiste du tatouage, il s’agit d’un phénomène culturel profond qui marque l’avènement du corps comme moyen d’expression personnel et identitaire. Pour Bouillant(e)s, il revient sur l’émergence de cette pratique et ses significations.
Le tatouage : une pratique solidement « encrée » en France
Hier confidentiel et mal vu, aujourd’hui omniprésent et follement tendance : le tatouage a fait sa mue il y a près de trente ans, au virage des années 80 et 90. Si aucuns chiffres officiels n’existent, les études les plus récentes montrent une progression vertigineuse du tatouage chez les Français. Voilà quelques données-clés.