Ecosystème | Jérémy Fuchs, pêcheur : le dernier… sera le premier

C’est bien connu, un chef tout seul raccrocherait vite sa toque au vestiaire, par manque de mains, par manque de compétences, par manque d’inspirations. Bouillant(e)s s’est penché sur l’écosystème humain du chef Jérôme Jaegle. Rencontre avec Jérémy Fuchs, pêcheur
Ecosystème | Sophie Barmès-Buecher, vigneronne : « Nous réalisons un travail digne de la haute couture sur chacune de nos parcelles »

C’est bien connu, un chef tout seul raccrocherait vite sa toque au vestiaire, par manque de mains, par manque de compétences, par manque d’inspirations. Bouillant(e)s s’est penché sur l’écosystème humain du chef Jérôme Jaegle. Rencontre avec Sophie Barmès-Buecher, vigneronne
Écosystème | François Lacour, potier : « La première fois que j’ai mangé un plat de Jérôme dans une de mes assiettes, j’ai eu la larme à l’oeil. »

C’est bien connu, un chef tout seul raccrocherait vite sa toque au vestiaire, par manque de mains, par manque de compétences, par manque d’inspirations. Bouillant(e)s s’est penché sur l’écosystème humain du chef Jérôme Jaegle. Rencontre avec François Lacour, potier.
La cuisine de Jérôme Jaegle : sente et sentiments

Un chef humble dans son discours rend de facto le mangeur plus léger, dégagé de cette vertigineuse pression de s’attaquer à un morceau taillé dans le marbre de l’excellence : retour sur un repas à l’Alchémille.
Un plat de Jérôme Jaegle | Gibier, chou kale et genièvre

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Jérôme Jaegle (L’Alchémille, Kaysersberg) : « Mon identité culinaire ne peut être que la résultante de ma liberté »

Un ancien PMU pour coeur de vie, des doutes et quelques certitudes, des caresses et des taquets, une bête à concours, un pantin essentiel, des messages forts, un terre « à terre » terrien, et une cuisine libertaire : à la découverte de l’univers du chef de l’Alchémille, Jérôme Jaegle.
15 adresses pour bien manger au comptoir à Paris

Du format de poche au 100% comptoir, du très “tradi” au très oriental,du bistronomique au gastronomique, le comptoir se prête à tous les plaisirs culinaires. Bouillant(e)s a dressé une sélection de 15 adresses où l’on peut poser son séant en toute sérénité..
On mange et on boit quoi au comptoir ?

Pâtissiers, sommeliers, chefs, journalistes… Bouillant(e)s a demandé à quelques figures du milieu ce qu’ils aiment boire et manger au comptoir.
Authenticité, convivialité, accessibilité… Pourquoi le comptoir n’a jamais été aussi tendance

Tant pis s’il est à l’antithèse de la distanciation sociale, tant mieux si le comptoir se prête à toutes nos envies modernes. Du sandwich et café vite avalés jusqu’au repas étoilé bon chic bon genre, ce bout de zinc partagé et haut perché incarne toutes les valeurs de notre époque : authenticité, accessibilité, pluralité… Décryptage d’une tendance toujours bouillante.
Ce que Jonathan Nossiter a écrit sur l’Atelier Robuchon et le Comptoir de l’Odéon

En 2007, le réalisateur, cinéaste, écrivain et sommelier Jonathan Nossiter rédige un livre intitulé “Le Goût et le pouvoir” dans lequel il relate, de façon tout à fait subjective, ses expériences culinaires et vineuses en France. Sur les 21 chapitres de son livre, il en consacre un à l’Atelier Robuchon et un autre au Comptoir de l’Odéon d’Yves Camdeborde. La puissance de sa critique est à la hauteur de ses expériences ratées.