Denis Allegrini, fondateur du groupe The Social Club et repreneur de l’Épuisette : « On a gagné cette mise en concurrence par la qualité de notre dossier »

Alors que l’exploitant actuel de l’Epuisette Bernard Bonnet conteste la validité de la mise en concurrence pour l’exploitation du restaurant marseillais, Denis Allegrini, qui a remporté le concours, estime avoir parfaitement respecté les procédures et souhaite accompagner la cheffe Coline Faulquier dans cette nouvelle aventure.

Potel et Chabot reprend la marque Dalloyau

Ils étaient nombreux à en rêver, ce sera finalement le groupe Potel et Chabot. La marque historique Dalloyau tombe finalement dans l’escarcelle de ce dernier ; ainsi en a décidé le tribunal de commerce de Paris mardi 29 octobre.  Dans un communiqué de presse, Potel et Chabot précise que « l’offre de reprise formulée par Potel […]

Chef et restaurant : le jeu des sept familles

Au pays de l’égalité proclamée, à côté de la liberté et de la fraternité, le vocable restaurant se conjugue au singulier. Du McDo à la table triplement étoilée, en passant par le joli bistrot, un seul et même mot recouvre des réalités totalement opposées. Il ne faut pourtant pas être grand clerc pour saisir cette incroyable diversité des profils. Bouillantes a dressé la liste des sept grandes familles de chefs – non exclusives les unes des autres – qui composent le camaïeu de la restauration française.

Amélie Darvas débarque aux Chalets du Mont d’Arbois (Megève)

Alors que la neige se fait de plus en plus rare à Megève (1113 mètres d’altitude), les chefs continuent de croire au miracle alpin. Alors que le résident en chef Emmanuel Renaut installe sa table triplement étoilée au coeur du village le temps des travaux de son Flocons de Sel, l’iconoclaste Marc Veyrat remet le […]

L’effacement de la cravate : des conséquences de la tête aux pieds

La cravate disparait, c’est un fait. Incontestable. Au restaurant, elle s’efface au profit d’une simple chemise, d’un petit polo chic ou d’un modeste t-shirt plus ou moins bien taillé. Le tout sera parfois surmonté d’une veste qui lissera les différences, mais encore, ce n’est pas certain. Venez comme vous êtes semble être un slogan partagé par tous les acteurs de la restauration. Mais l’effacement de ce signe distinctif n’est pas sans emporter de multiples conséquences au sein du restaurant, de la tête au pied.

Cravate : l’étoffe symbolique

La cravate ne constitue plus vraiment un sujet au restaurant. Elle n’est plus obligatoire nulle part, contrairement à la veste, encore exigée dans quelques cénacles gastronomiques en léger décalage avec leur époque. Ce petit bout de tissu, solidement arrimé au cou avec son noeud coulant, voit son empire d’usage de plus en plus réduit, tandis que sa puissance symbolique reste forte. À travers ce simple bout d’étoffe, le restaurant démontre qu’il reste un fidèle reflet de notre société et de ses moeurs.

Demain, le restaurant sans téléphone portable ?

Alors que pointe des envies toujours plus fortes de « digital detox », le restaurant semble avoir lâché toute réflexion sur l’omniprésence désastreuse du téléphone à table. Alors que de nombreux chefs regrettent son utilisation régulière et néfaste pour la bonne appréciation des plats, n’est-il pas temps de repenser la place du téléphone à table et d’agir collectivement pour en limiter l’usage ?