Annonce de la perte de l’étoile : violences volontaires ou impensé coupable du Michelin ?
Chaque année, quelques jours avant l’annonce publique des promus dans la nouvelle édition du guide Michelin, les rétrogradés reçoivent, sauf exception, un simple échange téléphonique pour leur annoncer la perte de leur étoile. Un appel bref, sec comme un coup de trique, sans explication, sans empathie alors que cette distinction peut être l’objectif d’une vie pour un chef et son équipe. Le Bibendum se rendrait-il coupable de violences volontaires ou ce coup de fil, aux allures de coup de massue, constitue-t-il plutôt un lourd impensé à repenser ?